quand on connecte ma robe de mariée

1) je me marie 2) on connecte ma robe.

Projet mené par un groupe d'étudiants ingénieurs ESILV et un groupe d'IIM au De Vinci FabLab(w).

J'ai bien de la chance, non ?

Pour suivre le projet : http://bridezilla-io.tumblr.com/

quand je crée un rdv #IIMDesignInteractif

En tant que responsable de l'axe Design Interactif de l'IIM, je créé un rendez-vous Hangout le mercredi à 13h. "13 minutes pour parler #IIMDesign Interactif". Les étudiants et des invités pourront y participer et tout le monde pourra le voir en direct et en catchup. (merci Google)

Voici la deuxième édition :

quand on interview Yassine Slami, concepteur multimédia, universcience

Guillaume et Romain, étudiants à l'IIM, sont venus avec moi interviewer Yassine Slami concepteur d'application multimédia à la cité des sciences et au Palais de la découverte.

Les thèmes de l'interview :

  1. Comment faire tout de suite comprendre à l'utilisateur les modalités d'utilisation d'une installation multimédia (est-ce à regarder, est-ce à toucher, est-ce à jouer à plusieurs ?),
  2. La coopération source d'engagement sur une installation,
  3. Les étapes de la conception d'une exposition interactive,
  4. La place du prototype et du "fine tuning" dans une processus d'achat fait d'appel d'offres et de deadlines,
  5. Techniques pour rendre une installation interactive robuste,
  6. Les technologies utilisées pour créer des installations interactives qui seront utilisées pendant plus de 8 ans par environ 600 000 visiteurs,
  7. Et finalement, l'essence d'une bonne installation interactive dans un musée, c'est lorsque son interface, son contenu sert d'une manière toute simple : son propos. (eg : la manivelle de la Vie de Léonard.)

C'était super. Romain doit rédiger un article pour le blog de l'IIM, en attendant voici les photos que j'ai prises.

quand, cette fois, c'est un marathon JJG

En ce moment, je m'attaque à la méthode JJG pour créer de l'émotion.

Voici ce que j'ai rassemblé en regardant quelques dizaines de vidéos :

  1. Trouver "LE" sujet (c'est quelque chose à défendre, quelque chose que les gens vivent, c'est une forme de paradoxe, c'est quelque chose qui correspond à une attente) quelque chose en phase avec la personnalité du chanteur, de son public et de son auteur.
  2. Garder sur des petits bouts de papier des idées de "sujet"
  3. Garder des sacs plastiques plein d'idées de sujet
  4. Pour trouver des idées de sujet : connaitre l'interprète ou faire des recherches (lire xxx interviews)
  5. Pour trouver des idées de sujet : vivre une vie de quelqu'un de standard, pas vivre la vie d'un chanteur à succès
  6. Pour trouver des idées de sujet : faire du vélo ou ...
  7. Pour la mélodie, "gratouiller" sur son piano pendant des heures jusqu'à ce qu'il ait quelque chose de "pas mal" qui émerge
  8. Ensuite c'est que du travail : rythme, rimes, paroles, c'est de la technique. Ca s'apprend.
  9. Répéter jusqu'à ce que l'on ne soit plus en phase avec notre époque.
  10. Ne pas faire trop d'albums, cultiver la rareté...
  11. Alors que le succès est juste devant nous, bien que l'on soit particulièrement humble décider d'aller ...

quand il a 45 cm d'Humour à vendre

Comme vous le savez, les version papier de J'adooore se font rares, très rares... pas uniquement parce que c'est bonne pratique... aussi parce que... côté budget en ce moment "je fais ce que je peux".

Pour acheter votre exemplaire numéroté de J'adooore, ingrédient n°5 de Humour, c'est par ici.

05Humour, de la série J'adooore, six ingredients to create fans. Livre écrit en anglais, 156 pages, contenu très illustré. 21 euros pour la version papier + le PDF.

Voici sa table des matières :

  • 17 types d'humour utilisables pour les marques à travers le monde
  • 11 stratégies pour créer de l'humour sur les réseaux sociaux, sur nos sites web, sur nos packagings, dans nos pubs
  • 3 stratégies pour faire juste sourire notre audience
  • Comment les associations à but non lucratif arrivent à attirer l'attention sans montrer des photos d'enfants affamés ou de doigts de gorilles coupés
  • L'humour est-il utilisable par toutes les marques ? Même les marques de luxe ?
  • L'humour est-il adapté à tous les messages ? Même les messages de sécurité ?
  • L'humour est-il utilisable dans toutes les situations ? Même les situations de crise ou de bad buzz ?
  • Des interviews exclusives de Penny Anderson de TreacleMoon et de Charlotte Garin d'Innocent Drinks

Vous voulez savoir ce qu'en disent les lecteurs ?



"Je croyais que l'Humour c'était pour les autres marques, pas la nôtre, mais en lisant ce livre, je me dis que non, ce n'est qu'une question de style à adapter à notre cible." M.S



"Comme les autres ingrédients, toujours aussi concret, fouillé, surprenant." N.M.

"Quand j'entends Patricia parler du contenu de ce livre, j'ai l'impression qu'elle fait les recherches que je n'ai pas le temps de faire" Alexandra Dimiziani, Coca-Cola Europe.


quand Luc Besson est aussi un chasseur d'authenticité

Capturer l'authenticité d'une émotion sur le visage d'un spectateur est clé pour véhiculer l'émotion. On le voit dans les vidéos de buzz. Toutes les techniques de l'Actor's studio tournent autour de ça... de techniques pour créer cette authenticité. Je ne parle même pas du travail des photographes sur ce sujet.

Voici comment Luc Besson s'y prend :

5:49. Je la résumerais en deux points : "make it real, surprise actors". Et oui, même Bruce Willis y a droit.

PS : Walt utilise la même technique dans cette scène de Mary Poppins

quand je me lance (enfin) dans un marathon Shonda Rhimes

Ma technique de recherche est la suivante :

  • identifier des produits "adooorés".
  • partir dans un marathon fait de vidéos, de livres et autres interviews sur les créateurs du produit.

Et là, vacances aidant, j'ai récupéré un peu de CPU, donc je me suis attelé à Shonda Rhimes, créatrice, en autre, de Grey's Anatomy. Shonda est Doctor of Arts diplômée de Darthmouth. Shona Rhimes, doctor of Arts Elle partage très généreusement, dans les vidéos ci-dessous, avec deux autres auteurs à succès : "SON PROCESS". En design d'expérience, au contraire d'un artiste qui travaille seul, il est question de réussir à créer "en groupe".

  • Comment fait-elle pour gérer les peurs des acheteurs ? et à leur "Stupid notes"
  • Comment fait-elle pour convaincre le network ?
  • Comment fait-elle pour tirer le meilleur de ses équipiers ?
  • Comment fait-elle pour être à l'écoute des opportunités apportées par les autres artistes de l'équipe ?
  • Comment fait-elle pour extirper le meilleur d'elle-même ? (oui oui, extirper)
  • Où sont les jalons (the stakes in ground) qui lui permettent de créer autant d'émotions chez les téléspectateurs ?

Bref, quel est le processus de co-création de la série à très grand succès "Grey's anatomy" ? Voyons ce que le "Doctor of Arts" dit.

Les réponses dans ces 2h30 de vidéo :))

Ce que j'en retiens en 10 points :
  1. Fait des silences, trouve la peur sous-jacente
  2. En cas de moment difficile, utilise ça
  3. Benchmark, recherches, écoute ton intuition, regarde ce qu'il te plait, fait des choses que tu aimerais voir
  4. Regarde ce que les équipes apportent, prend les nouvelles idées que cela apporte, édite toi-même, re-shoot les bouts qu'il manque, emprunte allègrement à ta propre vie
  5. Soit claire de qui sont tes personnages et où tu veux aller. Ai des images fortes dans ta tête de ce qu'il se passe à mi-parcours. Connait ce qu'ils ont dans leur casier
  6. Travaille en musique, note ce qui "sticks", travaille le rythme, travaille la soundtrack encore encore et encore
  7. Respecte ton process (voire impose ton process) mais livre aux deadlines
  8. Pas de template mais "thread, thread, links, thread here there", des arcs sur 3 épisodes, sur une season, sur une série de plus de 300 épisodes. "I'm a craft lady".
  9. Donne tout ce que tu as... tu ne sais pas s'il y en aura d'autres
  10. Et enfin "Be a doer"

PS : j'ajouterais... ce que j'entends entre les mots : "walk into the fear".

quand il est question de "prendre des risques"

Il y a quelques jours, j'ai eu le plaisir de faire une conférence J'adooore auprès d'une grande marque française de cosmétique. C'est toujours aussi chouette pour moi de partager mes recherches avec ceux pour qui je les ai faites.

IMPP me fait intervenir dans le cadre de "L'atelier", mon intervention est positionnée en fin de journée. J'arrive, et petits retards sur la journée aidant, j'ai alors la chance d'entendre les comptes-rendus des tables par sujet de recherche. Cette fois-ci une personne a fait un compte-rendu en finissant par un : "bref, il faut prendre des risques". A ce moment là, toute la salle s'est animée, des applaudissements, des cheers. Ils étaient tous bien d'accord !

Cette phrase m'a inspirée. Me fait de nouveau réfléchir sur cette notion de prendre des risques. Qu'est-ce que prendre des risques quand on est en groupe ? Le groupe soutient-il le risque ? Où est le risque réellement ? Est-il financier ? Est-ce risqué pour notre image de marque ? Est-ce risqué pour notre ego ? Est-ce risqué pour notre réputation en temps que professionnel ? Y-a-t-il vraiment innovation sans prise de risque ? En temps qu'équipier, dois-je prévenir les autres que je prends des risques ? Cette capacité a prendre des risques, n'est-ce pas là l'essence même de ce qui va me permettre de différencier ma marque ? Car je vais prendre des risques là où les autres ne vont pas le faire. Je reflète sur mon travail passé, sur les bons que j'ai pu faire en design d'experience... et combien de fois... c'est la prise de risque qui m'a permis de cristalliser les choses.

Bref, j'ai l'impression d'avoir une main dans le dos, ferme et réconfortante, qui me pousse à prendre des risques maintenant. Pour fêter ça, ce weekend, j'ai pris un risque de 2m50. Indice.

Je vous tiendrais au courant de ce que ça donne. :)

quand je m'attaque à la programmation

A l'IIM, avec notre super intervenante objets connectés... nous nous attaquons à un gros sujet : "donner à TOUS nos étudiants une furieuse envie de savoir programmer !"

L'objectif est de créer "LA DECISION" dans l'esprit de nos jeunes "designers d'interaction".

Je pense, dans mon argumentaire, utiliser un "Steve a dit" :

Je pensais aussi :

  • à créer l'étincelle créative dans leur esprit afin de vouloir réaliser leurs idées,
  • leur démontrer en quoi, comme faire des fautes d'orthographe, ne pas savoir programmer est une forme d'handicap,
  • trouver un méga giga pédagogue intervenant en programmation,
  • et créer du lien du lien et du lien avec leurs objectifs.

Bref, tout un programme.

quand je trouve un chouette atelier à faire avec des enfants

L'autre jour ma lolotte était invitée à l'anniversaire d'un copain de crèche... je me suis dis que plutôt que d'acheter des boucliers dans le commerce, nous pourrions les fabriquer.

Ca marche avec trois bouts de ficelles, un peu de couleurs, un reste de carton et beaucoup de colle blanche.

quand Paris for Love avance avance

Avec les prépas de l'IIM et l'agence Eurelis, nous organisons pour la St Valentin un événement ibeacon dans tout Paris.

De plus en plus de balises sont positionnées

De plus en plus de super contenu créé

Pour suivre nos aventures : www.parisforlove.com

quand je rencontre le co-auteur du buzz "j'ai braqué Colette"

A l'IIM, j'ai rencontré le co-auteur du buzz "J'ai braqué Colette".

quand l'ingrédient 5 de J'adooore est en cours d'impression

:)... enfin.

quand j'arrive à passer au Tank (nouvel espace de co-working parisien)

Nouvel espace pour créatifs numériques, le Tank ouvrait ses portes aujourd'hui. Si vous êtes un peu dans le milieu... vous avez vu l'info passer. J'ai trouvé leur format de midi à midi du vendredi au samedi intéressant car il laisse aux visiteurs plus de place pour jongler avec ses contraintes.

Bref, le lieu est grand, le public top, les discussions top. L'adn des hôtes semble y être. Le gros du beau monde était invité à venir le soir.

La coach et facilitatrice Véronique Sagot produisait des mindmaps à la volée. Je suis toujours admirative de ceux qui arrivent à faire ça. Je n'y arrive pas du tout. ;) Christelle.

Je partage ici les photos de notre création collective... et pour tous ceux qui étaient dans la salle avec nous... quelle aventure de créer en France quelque chose de "grand et de beau" !

Pour la petite histoire, le Tank nous avait posé 3 questions qui commençaient toutes par "Comment...". L'une d'elles disait "comment faire pour que la France produise de belles et grandes choses ?"... il y avait numérique quelque part. Pendant que d'autres en parlait, "notre équipe" a essayé de faire quelque chose de grand et de beau avec le matériel et le temps imparti. Agiliste un jour, agiliste toujours. :)

Cette espèce de table ronde collaborative faisait suite à une table ronde sur le décloisonnement entre industrie/économie numérique et les chercheurs en sciences humaines et sociales.

Bien que le moment fût un peu difficile pour moi émotionnellement. Ben ouais : "pas facile d'être le mouton noire qui va à contre sens du banc de poissons." Je crois que j'ai trouvé (par accident) un nouveau workshop qui met en avant le rôle clé du groupe dans l'émergence de l'innovation. Une sorte d'atelier interactif qui se situe entre Marshmallow Challenge et application de méthode agile.

Je tiens à encore remercier :

  • Karen Bastien pour son "ça c'est vrai",
  • à remercier mon voisin de droite pour son premier pliage,
  • à remercier Marion et Karen pour les suivants.
  • à Florent pour son envie d'origami, sa prise de risque aux moments où je ne pouvais plus. J'ai beaucoup appris, hier, de la manière dont Florent a soutenu le projet sans pour autant se mettre à dos le reste du groupe.

Je n'ai pas osé sortir mon mètre à mesurer l'esprit d'équipe... ce n'était pas vaillant.

Suivre les 24 heures du Tank sur Twitter.

quand je prépare un module "lieux connectés" pour les prépas de l'IIM

Mon rôle de responsable pédagogique de l'axe Design Interactif m'amène à organiser un module Lieux Connectés pour les prépas de l'IIM (www.iim.fr). 50% de la promo sera amenée à connecter un lieu via la technologie NFC. Un atelier mené par Tatiana Grange. Je n'ose pas trop faire son éloge sur Internet sinon tout le monde va me la piquer. :)

50% de la promo, sera amenée à connecter la ville de Paris, lors de la St Valentin, grâce à la technologique iBeacon. C'est un très chouette projet préparé et encadre par l'équipe des agitateurs de technologies : Smail Chertouk, Vincent Lambert et Stéphane Gamblin (et toute l'équipe www.eurelis.com).

pour suivre nos aventures, Paris City of Love, www.parisforlove.com #parisforlove et sur la page Facebook.

Le module débute lundi matin. Les étudiants ne savent rien du projet. Ils ne savent pas que le communiqué de presse est parti. J'espère qu'ils vont aimés le projet... sinon je suis mal.


Patricia Gallot-Lavallée, Designer d'expérience.

À propos de Patricia Gallot-Lavallée


Prestataire indépendante, je mène des audits de l'expérience client et j'apporte les résultats dans vos équipes afin d'ensemble innover pour enchanter le client.

MA SPECIALITE : L’EMOTION Spécialisée en “Designing for Emotions”, auteure de 5 livres sur ce qui créé́ l’émotion, le buzz, le j’adoooore chez l’être humain.

Mes livres

Conférence : J'adooore, six ingredients that create fans Demandez une conférence basée sur le livre J'adooore, 6 ingredients that create fans

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  • Humor
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Tête de : “Ca m'intrigue ! ” - crédit photo : grekopict - Fofolia

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